Cette thèse s'inscrit dans le cadre des Systèmes Complexes. Elle s'intéresse à la robustesse et donc aux perturbations de ces systèmes, notamment les perturbations de synchronisme, avec pour premier modèle les automates cellulaires. Comme souvent dans le contexte des systèmes complexes, il s'agit de s'appuyer d'abord sur des études par simulations solides avant d'essayer de formaliser et de proposer des résultats théoriques éventuellement partiels.